* PIZZA POMMES DE TERRE… *
– JUDGMENT DAY, par ALAN MOORE –

4 thoughts on “JUDGMENT DAY, PAR ALAN MOORE”
  1. Adonc…
    Que penses tu de DEATHBLOW BYBLOWS ou de la mini série VIOLATOR qu’Alan Moore a également écrit, certainement pour payer une pension alimentaire du temps où Image l’avait récupéré en solde?

    surtout VIOLATOR, j’vais trouvé ça très…heu…nul?

    1. J’ai VIOLATOR et tout ce qu’a fait Moore pour SPAWN, ainsi que tout son run sur W.I.L.D.CATS, et dans les deux cas je n’ai jamais encore trouvé le courage d’y lire. Et c’est justement à cause de ce JUDGMENT DAY qui était franchement indigeste !
      DEATHBLOW BYBLOWS je ne vois même pas ce que c’est…

      1. HA HA HA
        De mémoire, c’est pas sur VIOLATOR qu’un se fait une hernie au cerveau.
        DEATHBLOW BYBLOWS c’est perché mais assez original mais en même temps peu charismatique et ça tombe à plat. il déconstruit le personnage de DEATHBLOW (mercenaire qui se sachant condamné accepte la mission de protéger le nouveau messie dans l’attente de trouver une rédemption et éventuellement un petit miracle, une série sympa en douze chapitres) en le faisant changer de sexe et d’ethnie. Aujourd’hui ça passerait sur un commentaire méta…. ^^
        C’est une période qui va lui servie de laboratoire pour son univers ABC. Tu le souligne ses séries Voodoo, et surtout GLORIA annoncent très clairement PROMETHEA tout comme SUPREME annonce TOM STRONG

  2. DEATHBLOW BY BLOWS n’a jamais été traduit en VF, c’est ça ? Parce que si je ne l’ai pas, en principe c’est que, comme GLORIA, y’a pas de VF (car non je ne lis pas de VO).
    Mais oui son taf avec les image Boys c’était clairement un truc pour emmerder Marvel et DC. Et ensuite, tant qu’à faire, il a fait fructifier tout ça pour la création de sa ligne ABC.
    La ligne ABC, et je pense que tu seras d’accord, c’est absolument génial au départ, mais très vite il pousse le volet expérimental trop loin. Il perd la bonne alchimie « divertissement/intelligent » pour plonger trop profond dans les expérimentations. Voir comment il commence PROMETHEA et LOEG en marchant sur l’eau, avant de couler toujours un peu trop loin dans les profondeurs psychés… Il fera pire avec CINEMA PURGATORIO (d’entrée complètement abstrait). Ça reste un truc énorme. Mais s’il avait réussi à rester aussi léger que sur TOP TEN, ça aurait quand même eu un autre fun !

    Avec le recul, PROVIDENCE était mieux équilibré, même si parfois assez ardu.

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