* LE TRAIN FANTÔME *

– LES ADAPTATIONS DE STEPHEN KING :
ÇA : CHAPITRE 1 & 2


(1ère partie)

Les sept ratés : Un groupe d’ados dans les suburbs, comme dans les films des années 80 !

Grippe-sou : le clown le moins drôle du monde…

Encore une maison maudite !

Pauvre petit garçon…

Dans le roman, les sept ratés n’ont pas tous un vélo. Mais dans un film qui s’inspire autant de ÇA que de E.T., ils en ont tous un !

Les sept ratés à l’âge adulte. Reste à savoir pourquoi ils ne sont que six…

Beaucoup d’effets et d’humour. Mais est-ce que ça fonctionne ?

Les monstres du Chapitre 2 : Tous virtuels !

7 thoughts on “ÇA (IT) : CHAPITRE 1 & 2 – D’APRÈS STEPHEN KING”
  1. Merci pour cette découverte. Pas encore vu ce diptyque, probablement pour le changement annoncé lors de la sortie du 1er film et mis en avant dans l’article, à savoir la répartition simpliste passé/présent plutôt que l’utilisation de flashbacks. Je ne doute pas que le film soit compétent côté jump scares ou que le fils Skarsgaard rentre bien dans le rôle (il tient également un rôle inquiétant dans Castle Rock), mais je ne suis pas pressé de découvrir cette relecture (ou d’ailleurs celle de Simetierre, qui suit également une autre voie que le roman ou sa première adaptation)

    1. En ayant revu ce diptyque récemment avec mon fils, je dois avouer que ses défauts m’ont sauté aux yeux. J’ai peur qu’il vieillisse assez vite et assez mal. Je peux me tromper mais, si c’est le cas, au moins, ça démontrera que ceux qui n’arrêtent pas de railler la version de 1990 et qui se sont enthousiasmé pour cette nouvelle version, devraient apprendre à remettre les choses dans leur contexte et à approcher les « vieux trucs » avec davantage d’esprit critique.
      N’empêche que je dois avouer que je ne résiste pas à l’envie de me ruer sur la série TV ! ^^

  2. « Au milieu de ce maelstrom d’effets horrifiques plus proches d’un train fantôme de parc d’attraction que d’un réel film d’épouvante »
    Je rêve ou tu critiques finalement toi-même les excès de jump scare mal fichus ?^^
    Je n’ai rien contre quelques jump scares bien pensés de temps en temps, mais c’est aussi ce qui a créé ce nouveau genre bizarre de « l’horreur mainstream » qui attire des gamins dans les salles qui sont insupportables et n’attendent qu’un jump scare pour éclater de rire quand ils ont été surpris (c’est du vécu, séance gachée au ciné quand j’étais llé voir un film coréen d’horreur par des jeunes qui n’en avaient rien à foutre du film, riaient, étaient sur leut téléphone, et criaient quand il y avait un jumpscare avant de bien rigoler de s’être fait avoir. Et on les sentait déçus qu’il n’y ait que très peu de jump scare d’ailleurs.)
    C’est du parc d’attraction que ce public cherche. Pour un film, pour moi il faut qu’il y a autre chose, une vraie tension, des personnages, etc.
    Je n’ai pas vu ces films et j’ai lu que le taf sur les personnages était la meileure chose, mais pas du tout le côté horrifique de train fantôme.

  3. Non les jump scares je m’en fous. Mais là, au bout du 2° film, tu regrettes quand même pas mal qu’ils s’attardent sur des effets horrifiques de barnum répétés ad nauséam et qui vont assez vite mal vieillir, plutôt que de bien adapter le roman, ou en tout cas de bien raconter leur histoire..

  4. J’ai revu avec ma fille à l’occasion de notre semaine d’Halloween les deux volets d’affilée.
    mon bilan de visionnage est vraiment mitigé?
    Le premier volet fonctionne même s’il surfe totalement sur la même fibre que la série STRANGER THINGS, ce qui n’était pas je pense la vocation du récit de base.
    faire le diptyque en deux époques distinctes n’est pas une bonne idée, cela sape la force du récit original qui commençait avec cette « convocation forcée » qui engendrait ce « retour » en mémoire de manière douloureuse et progressif.
    là, on a une première partie « goonies » et une seconde qui manque de liens organiques avec la première.
    Le récit qui perd en force et du coup se croit obligé de nous asséner un déluge de CGI à la toute fin.
    L’antagoniste ne semble avoir qu’une seule façon de faire peur: foncer à toute vitesse en dodelinant de la tête…
    Le charme des interprètes fonctionne et sauve le film. ainsi que sa direction artistique, mais c’est loin d’être vraiment marquant.
    Je suis un peu déçu quand même.

    1. « L’antagoniste ne semble avoir qu’une seule façon de faire peur : foncer à toute vitesse en dodelinant de la tête… »
      Ah oui, punaise, c’est exactement ça. Tu verbalises parfaitement ce que j’ai ressenti. Ils te refont le coup combien de fois en tout, sérieux ? On dirait qu’ils ont trouvé un « effet qui fait peur » et ils te le refont en boucle. Voilà typiquement le genre d’effet qui va très vite vieillir et qui ne servira plus à rien très vite.

      Comme tu le dis, c’est décevant, surtout le chapitre 2, mais « le charme des interprètes fonctionne et sauve le film, ainsi que sa direction artistique ». Du coup je suis d’accord pour dire que c’est pas top, mais pas d’accord du tout sur ce qui revient un peu trop systématiquement avec certains cinéphiles, du genre « c’est complètement de la merde et patati et patata ». Au-delà des déceptions en termes d’adaptation, ça reste quand même un divertissement de qualité et on peut faire preuve de nuances.

      1. Je suis totalement d’accord. Après m’être infligé des kilomètres de vidéos (ou de blogs) qui ont la vocation de toujours tout détruire dans leurs chroniques pour le plaisir de trouver des superlatifs originaux… j’espère avoir appris à être mesuré dans ce que je dis.
        Le second volet m’a déçu et je me suis même un peu ennuyé, mais il est loin d’être nul et ne mérite pas qu’on l’étrille.
        Toutefois j’aurais tendance à préférer le téléfilm d’antan.
        Nostalgie? possible
        aversion des CGI? peut-être
        je trouve plus effrayant, malsain/malaisant d’avoir un Grippe-sou qui soit un « vrai » clown, je dois dire.
        Après j’ai conscience que la nouvelle version est bien plus « belle » et plus « esthétique »…

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