* HOMME ET LOUP, JOUR ET NUIT présente *
– LES ADAPTATIONS DE STEPHEN KING –
– PEUR BLEUE : STEPHEN KING’S SILVER BULLET


Voir l’article introductif sur les principaux thèmes de Stephen King


Un temps que les moins de vingt ans…

Un casting bien dans son époque.

Petit florilège.

Ils sont pas mignons, tous ?

C’est de l’horreur, quand même !

Attention : Spoiler ! Cette scène de transformation dévoile l’identité du méchant…

2 thoughts on “PEUR BLEUE – D’APRÈS STEPHEN KING”
  1. Tout d’accord que toi pareil 😛 !!
    Je l’ai zieuté plusieurs fois, preuve que j’y prends du plaisir, malgré le récit linéaire et plat, sans aucune surprise et/ou originalité, sinon, comme mentionné, dans la caractérisation des personnages, et leurs interactions (frère/soeur, fils/mère, neveu/oncle, mère/oncle). Et oui : c’est franchement mieux que La Nuit Déchirée, qui est complètement raté/suant, par contre, ne serait-ce que côté casting (mais pas que : c’est surtout très, très timoré (hypocrite), au vues des pistes scabreuses et plutôt dérangeantes suggérées par le scénario !).
    Bon, ici, on comprends un peu-beaucoup-vite qui est la vilaine bébête de l’histoire : on peut pas dire qu’un gros travail d’ambiance ait été fourni… Mais c’est pas grave : c’est vraiment un film calibré soirée Téloche du Samedi.
    Je trouve Gary Busey juste Perfect dans le rôle : j’ai un Parrain comme ça, complètement à côté de ses pompes depuis toujours (et dans bien des domaines…) mais que j’ai adoré pendant toute mon enfance, et placé sur un piédestal pendant très longtemps. C’est, pour moi, la véritable richesse des œuvres du King, ces portraits si ressentis de personnages plus vrais que nature, si « Occidentalement » universels qu’on a toujours l’impression de les reconnaitre -et à qui il est si simple de s’identifier, surtout-, ce qui représente à coup sûr une part non négligeable des raisons de son (ses) succès, si populaire(s).

    Ce film porte très honnêtement sa patte, à ce niveau-là ; et ça participe évidemment au plaisir du spectateur ; quitte même à trouver finalement plutôt « productif » le ratage/la négligence envers la plupart des aspects traditionnellement soignés de ce genre de Cinéma de genre (la mise en scène, les effets spéciaux, l’ambiance) ; la dimension humaine/sociale du truc devenant de fait le point focal de notre attention.
    Ha ! C’était cool, l’adolescence devant la TV !!

    1. Merci de passer, Bruno !
      Effectivement, on se retrouve sur les points positifs de ce film, notamment avec l’interprétation de Gary Busey, mais aussi et surtout sur la caractérisation des personnages, ici directement traduits par le King lui-même puisque c’est lui qui a écrit le scénario. C’est vraiment ce qui m’a emporté dans le film, délaissant les autres aspects (ambiance, crédibilité et tout, comme tu le relèves), qu’on pourra apprécier dans d’autres films du genre. Là, on est avant tout dans un kid movies façon Stephen King. C’est déjà énorme !

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