HOMME ET LOUP, JOUR ET NUIT présente :
– WOLFEN –


Pour entamer la lecture de l’article dans les meilleures dispositions, quoi de mieux que d’écouter la BO de James Horner en même temps…

Un casting bien dans son époque.


L’art de filmer un décor naturel afin de le rendre totalement inquiétant et terrfiant…

Part 1 : NIGHTWING… Part 2 : WOLFEN…

10 thoughts on “WOLFEN”
  1. ça fait longtemps que je l’ai vu celui-là. Je crois que je l’avais trouvé un peu long et mou. Mais bon j’étais plus jeune et le parti pris avait du me surprendre, et puis maintenant tous les trucs que j’ai trouvés lent, je les réévalue parce que j’en ai marre des trucs épileptiques et la lenteur ça fait du bien parfois^^

    Tiens faut que je revoie la trilogie GINGER SNAPS. J’en ferai peut être un article dans cette sous-catégorie (si j’ai le droit de m’incruster dans ta catégorie^^)
    C’est surtout le premier le plus réussi avec son parallèle entre le passage à l’âge adulte et la transformation en prédateur féroce (et chez une jeune femme pour changer), mais bon les suivants se regardent bien aussi dans mon souvenir. Mais justement ça date un peu mes souvenirs, faut que je revoie tout ça.
    Bon par contre ça va être « femme et loup, jour et nuit » hein…c’est malin ça, d’avoir genré la catégorie !^^

  2. Tu n’auras qu’à écrire « FEMME ET LOUP… présente », ça fera un clin d’oeil rigolo ! ^^
    GINGER SNAPS : J’avais tenté le début et je n’avais pas accroché du tout. Le ton du film je crois. Ça ne faisait pas film. C’était filmé de façon spéciale il me semble, genre caméra amateur ou found footage. Enfin je dois avouer que je n’en garde aucun souvenir, sinon que je n’aimais pas ça.

    1. Euh non, ce n’est pas filmé de manière spéciale.
      Le ton…au début ça fait teen movie vu que c’est une ado qui est mordue est que sa transformation est mise en parallèle avec la puberté et ses premières règles. Mais bon ça finit de manière assez sombre.
      Après ça peut faire un poil téléfilm, ce sont des petits films. Mais moi je suis fan.
      Le 2 est assez sordide avec la deuxieme soeur qui est infectée et qui est internée de force pour une cure de désintox alors que la drogue qu’elle prend, c’est pour retarder sa mutation.
      Le 3 n’a rien à voir, c’est genre un siècle avant, avec les memes actrices, et l’une des deux devient un loup garou aussi dans un fort paumé au milieu de l’hiver canadien.

      1. Faudra que je réessaie, alors… Ou bien j’attends ton article 😀
        Quant à toi, il n’y a, à mon avis, aucune raison de bouder ton plaisir pour WOLFEN, qui te plaira sans doute beaucoup plus aujourd’hui.

        1. Après je dis pas ça pour que tu retentes. T’as le droit de pas aimer. Mais je vois pas de quoi il peut s’agir parce qu’il n’y a pas de parti pris à la found footage ou je ne sais pas quoi du genre. C’est assez classique dans la mise en scène. Surement même un peu trop plan-plan, car c’est un petit film. J’ai découvert ça en cherchant les fameuses « perles rares » ou tu trouves quand même assez rarement des chef d’œuvres, mais des petites séries B sympathiques, au même titre que Dark Waters (la version de 1994 de Mariano Baino, noyée dans les autres films qui portent un titre similaire), She creature (le téléfilm avec Rufus Sewell), The resurrected, l’Enfer des loups (de Paco Plaza) et autres trucs du genre.
          J’ai eu une période comme ça il y a plus de 10 ans maintenant ou j’arpentais les méandres des sites spécialisés dans le ciné qui dénichaient des trucs improbables mais sympas. J’ai surtout découvert plein de trucs via Devildead

          Il n’y a pas une liste très longue de films de loup garous et du coup j’avais tenté et pour moi GINGER SNAPS ça reste plus sympa même que WOLF avec Nicholson qui est assez moyen quand même.

  3. Ah ben je l’avais bien aimé, celui-là, au Ciné Club de FR3 (ou M6 ?! va savoir !), quand j’avais 15-17 ans (dans ces eaux-là, peu ou prout) ; en particulier pour le « décalage » amené par ce choix de ne montrer que des loups, et pas des Lycanthropes, comme tu le dis dans l’article. J’ai beau avoir une grande affinité envers le canidé intime (…), ce parti-pris fonctionnait très bien dans Wolfen, très « figuratif », où les effets spéciaux étaient très circonscrits (la vision nocturne des bêtes…) et les paysages urbains, véritables atouts majeurs du film, une plus-value indéniable au visionnage aujourd’hui, autant esthétique qu’Historique. Je flippe encore avec Albert Finney, lors de son ascension des piliers du pont de Brooklyn (je crois que c’est celui-à ?!) : j’ai la trouille du vide (la dernière qu’il me reste) et, à chaque fois qu’il doit détacher son mousqueton pour le rattacher, je me retrouve tout recroquevillé sur le canapé -presque.
    j’avoue néanmoins que, lors ce que je l’ai revu via une plateforme de streaming, beaucoup plus tardivement dans ma vie, hé ben je me suis bel et bien endormi ! Matt a raison de souligner le pépère du rythme, auquel on est plus du tout habitué. Mais je l’ai revu il y a un an ou deux, et c’est beaucoup mieux passé, car je m’y attendais, cette fois-ci.
    C’est un film qui assume son statu d’œuvre « sérieuse », malgré son scénario quasi Fantastique ; et la mise en avant du sort terrible des natifs du continent Américain est très originalement mis en valeur par le metteur en scène, plaçant l’exercice entre plusieurs catégories casse-gueules à définir ce qui, de mon point de vue, est toujours positivement intrigant : on est obligé -même moi, qui suis l’incarnation de la flemme mentale la plus absolue !- à prendre un peu de recul et réfléchir à ce qu’on vient de voir.
    C’est comme dans la vie : les étiquettes, ça enferme et ça limite.
    Sinon, c’est gag : là, j’écoute le BO, et c’est fou tous les échos de Alien que je retrouve ! J’suis pourtant pas mélomane, mais j’aime bien ce que je connais de ce compositeur : il est à ma portée.

    1. Merci pour le passage, Bruno !
      Pour ma part je m’étais également ennuyé, ado, devant ce film.
      Je l’ai clairement réévalué à l’âge adulte et aujourd’hui c’est quelque chose : À chaque fois que je le revois, je le trouve un peu plus génial !!!
      Sinon :
      1) Je suis également extrêmement sujet au vertige (mais aussi à la claustrophobie, à l’agoraphobie, et à plein d’autres trucs…).
      2) James Horner a effectivement fait la BO de ALIEN 2 mais j’avoue que je n’avais pas fait le rapprochement.

  4. Ah zut, j’avais oublié ma claustrophobie ! C’est malin. Enfin, je la gère mieux qu’avant : c’est surtout être entravé qui me fait flipper ; genre rester coincé dans un sac de couchage (ça m’est arrivé gamin : l’horreur !). Mais sinon, je ne souffre pas véritablement de vertige : y’a rien qui tourne (ça, c’est sur le ferry pour la Corse !). Non, je suis happé par le vide : ça m’appelle tellement fort, c’est terrifiant. Je me vois déjà en bas. J’ai du vivre ça, ce suspense d’être suspendu un court instant, entre deux, dans une autre vie…

  5. J’avais bien aimé la trilogie GINGER SNAPS, sans non plus la porter aux nues comme certains qui y ont vu moults sous-textes…Le film a la roublardise d’être un peu « valise » et suffisamment lare pour que le spectateur puisse y déceler plusieurs messages. mais ça reste un teen-horror movie.
    J’avais bien aimé le troisième UNDERWORLD qui était le prequel médiéval bourrin de la franchise.

    1. Salut Eddy !
      J’aime bien UNDERWORLD, perso. Le 1° est cliché mais bien fait. Le 2° est une série B décomplexée assez joussive. Le 3° est également une bonne surprise dans le genre série B de luxe qui assume son statut. Par contre je n’ai vu qu’une seul fois le 4 et n’en garde aucun souvenir. Et je ne sais même pas s’il y en a d’autres !
      Enfin, bref, c’est du feelgood movie qui peut se laisser regarder sans souci. C’est vraiment fait pour s’amuser et rien d’autre, tout en restant bien fait, sans honte et sans ambiguité.

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