VERS L’INFINI ET AU-DELÀ

Niveaux d’appréciation :
– À goûter – À déguster – À savourer

Aujourd’hui nous allons nous pencher sur la série TV des années 1960, STAR TREK, à présent rebaptisée STAR TREK : THE ORIGINAL SERIES ou TOS pour les intimes (parce qu’il fallait bien la différencier lorsque de nouvelles séries ont débarqué).

L’équipage principal

Ah, l’affrontement contre le Gorn ! On fait pas mieux en matière de kitsch

James T. Kirk et le docteur Leonard McCoy

Le lieutenant Uhura et Mr. Spock

Hikaru Sulu et Pavel Chekov

Tout amoureux d’images spatiales insolites appréciera tout de même le rendu moderne et la non-réutilisation ad nauseam des mêmes plans

Le légendaire générique

Mudd’s women : un épisode qui n’a pas un mauvais message de fond, mais quand même un peu beauf

C’est bon, z’avez tout lu ? Je vous épargne les 71 autres épisodes

Uhura a sa scène d’introduction avec Spock dans « The man trap » (5ème épisode produit) diffusé en premier, puis disparait donc pendant 4 épisodes.

Kirk et son double

Et l’un ne peut survivre sans l’autre

Kirk prisonnier d’un savant fou

Ted Cassidy dans le rôle du colosse Ruk

To be Kodos, or not to be Kodos ?

Drame shakespearien

Les Romuliens

Un épisode avec un peu plus d’action

Les nouveaux FX sont une vraie plus-value sur cet épisode

Spock et sa diplomatie légendaire…

Kirk en cour martiale

Beaucoup d’officiers prêts à voir tomber Kirk

On joue à la guerre

Oui, je demande à mes compatriotes d’aller se suicider. Un problème ?

Découverte de Khan

Khan, un homme dangereux au charme magnétique

Chasse au monstre

Oui, Spock, allez donc discuter avec ce…machin !

On est juste deux gars ordinaires, m’dame. Mon ami ne porte pas du tout un bonnet pour cacher ses oreilles pointues.

Un jour, l’homme ira dans les étoiles pour le bien de tous

2 thoughts on “STAR TREK : THE ORIGINAL SERIES (1ère PARTIE)”
  1. Il faut noter que le premier pilote de Star Trek (curieusement, cette série a eu le droit d’en faire un second), Majel Barett (l’infirmière Chapel dans la série) occupe le poste de second.
    Son rôle, ses positions affirmées etc déplairont au panel, notamment féminin, sur l’air du « non mais pour qui elle se prend cette arrogante ? Elle peut pas rester à sa place ? »
    En second lieu, le rôle d’Uhura, officier de communications sur la passerelle, fera dire à la jeune Whoopi Goldberg « Maman ! Y a une Noire qui joue, et c’est pas un rôle de bonne ! » Naissance d’une vocation. Guest de la série TNG.

    Et il me semble que c’est dans la saison 1 aussi que Spock démonte d’une phrase assassine le capitalisme en tant qu’esclavage « consenti ». Peut-être dans l’épisode 25, d’ailleurs ? Je ne sais plus. Ça fait un moment.

    1. Hello.
      Oui je n’ai pas parlé de The cage ni de « the menagerie » qui utilise 70% des images de « the cage » mais on voit bien Majel Barett dans le rôle de numéro Un, j’ai remarqué.
      J’ignorais que son changement de rôle venait du staff féminin. Comme quoi il y avait des mœurs difficiles à transcender à l’époque.
      J’avoue que je n’ai pas fait attention à cette phrase de Spock. Faut dire qu’il en balance pas mal sur les travers illogiques des humains.

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