PAR DELÀ LE MIROIR

1ère partie : Présentation de la série + saison 1
2ème partie : Vous êtes ici : saison 2

Niveaux d’appréciation :
– À goûter – À déguster – À savourer

Nous revoici pour une seconde partie consacrée à STAR TREK : THE ORIGINAL SERIES, cette fois-ci pour la saison 2.

Y’a du bon…

Et du vachement moins bon…

Les décors charmants du foyer improvisé de Cochrane

Communion avec une espèce inconnue

Les cérémonies d’union Vulcaines, ça rigole pas !

Spock est content ! Mais chut, hein !

Decker est autant une épave que son vaisseau

Face au destructeur de planètes

C’est quoi cet équipage de cinglés ?

Don’t mess with Mirror Sulu

Harry Mudd, le loser de l’espace

Gene Roddenberry a casté plusieurs jumelles pour jouer les androïdes construites en série

Bonjour papa !

Il y a presque autant de problèmes que de dignitaires dans cet épisode

C’est quoi ce truc ?

Comparaison d’effets spéciaux

Kirk ne fait pas le poids face à Rojan et Kelinda

Allez, on picole et on séduit

Richard Daystrom a un peu trop confiance en sa création

L’IA se défend

Robert Lansing qui vole la vedette

Un parfum de récit « James Bondien« 

Teri Garr joue la secrétaire du XXe siècle un peu larguée

Hum…3 officiers et un mec random en rouge. Qui va y passer dans 30 secondes ?

Le sourcil levé de Spock, une de ses expressions les plus intenses

-Il est mort, Jim.
-McCoy, il est en train de nous parler
-Non, Jim, y’a plus rien à faire, c’est fini…

3 thoughts on “STAR TREK : THE ORIGINAL SERIES (2ème PARTIE)”
  1. Superbes analyses, que je partage pour la quasi-totalité (pas un fan de Gary Seven).
    Comment ça, I Mudd rarement dans les top ! (je plaisante) J’adore cet épisode, comme pour Matt en grande partie grâce à l’impayable Roger C.Carmel, à la lâcheté hilarante (« the keyword in your peroration is d-d-death. ») et au formidable duo comique avec Shatner (la « traduction » de son évasion). Le reste de l’équipe n’est pas en reste : Spock qui désactive son tandem d’androïde en quelques phrases et le comportement absurde de l’équipage (la « mort » de Chekov, la « bombe »)
    Egalement dans les moins connus, The Immunity Syndrome, avec son équipage au bord du burn out avant même que commence l’épisode et la relation McCoy/Spock, trop souvent cachées derrière les vacheries amicales (« Dites au Docteur… qu’il aurait dû me souhaiter bonne chance »)
    Pour le reste, beaucoup d’incontournables avec Journey to Babel, Amok Tim (décidément, Spock est très mis en avant !) et Mirror, Mirror qui va avoir pas mal d’héritiers dans les séries suivantes.

    1. J’ai rarement vu I, MUDD dans les top en effet. Moi je le trouve bien marrant, et sans être vide de thèmes intéressants.
      Après la « mort » de Chekov et la « bombe » on peut trouver ça un peu niais, ça reste dans le ton léger de la comédie et on se dit que c’est pas bien difficile de se débarrasser de ces super androïdes. Mais bon ça passe. Roger C. Carmel me fait bien marrer, aussi avec la réplique de sa femme androïde juste pour lui dire de la fermer, et qui revient le hanter à la fin.
      THE IMMUNITY SYNDROME a un sacré paquet de répliques géniales. Comme quand Spock dit « I’ve noticed that about your people, Doctor. You find it easier to understand the death of one than the death of a million. You speak about the objective hardness of the Vulcan heart, yet how little room there seems to be in yours »
      Et PAN dans les dents ! ça pique comme réplique ^^
      Et puis bien sûr McCoy qui sort « Shut up, Spock ! We are rescuing you ! »
      Et Spock : « Well…Thank you…Captain McCoy »
      Ces deux là sont top dans cet épisode.

      J’ai entendu qu’il y avait d’autres épisodes dans l’univers miroir dans les autres séries en effet. Mais cette première série se concentre plus sur des concepts et idées sans étirer le truc. Il n’y a techniquement pas grand chose de plus à faire avec le concept de l’univers miroir, à part des aventures plus longues. C’est super comme idée, mais pas forcément sur la longueur.
      Mais quand on voit les séries récentes avec une seule intrigue étalée sur une saison qui consiste en « y’a un gros vilain avec une super arme à arrêter »…mouais…on se dit que c’est fini le Star Trek expérimental avec plein d’idées.

      1. Je précise, « absurde » n’était pas une critique mais une observation, l’absurdité étant « l’arme » de nos héros ^^
        Idem pour ma remarque sur McCoy et Spock : je trouve émouvant le petit « Bonne chance » du bon docteur une fois Spock hors de portée, et j’ai bien aimé voir ressortir ce côté émotionnel par rapport aux joutes verbales habituelles.

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