FIRE WALKS WITH ME

– 2° PARTIE –

Démoli au festival de Cannes !


L’agent Sam Stanley (Kieffer Sutherland), l’agent Chester Desmond (Chris Isaak), l’agent Albert Rosenfield (Miguel Ferrer), l’agent Dale Cooper (Kyle MacLachlan), le chef Gordon Cole (David Lynch) et l’agent Phillip Jeffries (David Bowie) : Les cadors du FBI sur l’affaire !

En haut : Une première bizarrerie… En bas : Laura et Donna, le visage de l’innocence ?

Laura se perd en rouge et noir…

La loge noire : Une allégorie de la face cachée de la bonne société américaine…

Rendez-vous dans 25 ans…

Ça commence fort.

À fond la reverb…

Tous les secrets de Laura…

Elle a l’air clean, vu comme ça…


Gros cadeau pour les fans !

Les êtres de la Loge noire…

Bonus :


5 thoughts on “TWIN PEAKS : LE FILM”
  1. Tornado, j’ai suivi ton conseil, et après avoir vu trois épisodes de la saison 3, je me suis refait le film, la préquelle. Rien n’y fait : je n’aime toujours pas ce film. Il y a de bons moments, réussis (tout le début avec le FBI, la scène dans la boîte de nuit, la scène finale entre James et Laura, le passage avec le tableau) mais pour le reste, c’est long, avec très peu d’intérêt tant scénaristique que visuel. Quelques images m’avaient donc marqué, notamment l’apparition du cheval blanc, qui était déjà là dans la série (mais ça j’avais oublié) et dont je ne comprends toujours pas le sens, le passage avec Bowie où Lynch nous effraye déjà comme il le fera dans LOST HIGHWAY, mais au final c’est surtout dérangeant et glauque et n’a, pour moi, aucune valeur en dehors de la série. Sans avoir vu la série, cela a encore moins d’intérêt. Tu me dis qu’il faut l’avoir vu pour voir la saison 3 mais à part cette histoire de bras engourdi et un plan sur les prises électriques, je ne vois pas ce que cela pourra amener.

    « Baroque jusqu’à la lie, parfois malsain, surréaliste, expérimental dans les moindres recoins et les moindres atomes, le film développe une alchimie inouïe entre le fond et la forme dont l’idée première, encore une fois, n’est pas d’expliquer les mystères de la série, mais d’exprimer, au sens propre, avec les moyens inhérents au medium cinématographique fait de sons et d’images, ici expressionnistes donc, le passage du réel vers l’inconnu. » C’est bien résumé, même si je ne dirais pas parfois malsain mais malsain tout du long. Et je ne trouve pas que Lynch y arrive. Cette fin avec l’ange, c’est un peu bateau non ? Et le passage du réel vers autre chose me semble mieux géré dans la série, notamment le tout dernier épisode de la saison 2. Tu m’apprends tout de la production par contre. Merci pour tout ça.

  2. Autant je ne suis pas certain de vouloir lire le journal de Laura Palmer, autant j’aimerais voir MISSING PIECES dont je n’avais pas du tout entendu parler. C’est comme un ou deux livres sortis par la suite, peut-être que je les chercherais pour m’éclairer, car les mystères sont trop nombreux (et quelque part, ça ne me dérange pas vraiment).

    La version de Chrysta Bell est superbe.

    Allez, plus que 15 épisodes et j’aurais fini la saison 3…

  3. Tornado, j’ai suivi ton conseil, et après avoir vu trois épisodes de la saison 3, je me suis refait le film, la préquelle. Rien n’y fait : je n’aime toujours pas ce film. Il y a de bons moments, réussis (tout le début avec le FBI, la scène dans la boîte de nuit, la scène finale entre James et Laura, le passage avec le tableau) mais pour le reste, c’est long, avec très peu d’intérêt tant scénaristique que visuel. Quelques images m’avaient donc marqué, notamment l’apparition du cheval blanc, qui était déjà là dans la série (mais ça j’avais oublié) et dont je ne comprends toujours pas le sens, le passage avec Bowie où Lynch nous effraye déjà comme il le fera dans LOST HIGHWAY, mais au final c’est surtout dérangeant et glauque et n’a, pour moi, aucune valeur en dehors de la série. Sans avoir vu la série, cela a encore moins d’intérêt. Tu me dis qu’il faut l’avoir vu pour voir la saison 3 mais à part cette histoire de bras engourdi et un plan sur les prises électriques, je ne vois pas ce que cela pourra amener.

    « Baroque jusqu’à la lie, parfois malsain, surréaliste, expérimental dans les moindres recoins et les moindres atomes, le film développe une alchimie inouïe entre le fond et la forme dont l’idée première, encore une fois, n’est pas d’expliquer les mystères de la série, mais d’exprimer, au sens propre, avec les moyens inhérents au medium cinématographique fait de sons et d’images, ici expressionnistes donc, le passage du réel vers l’inconnu. » C’est bien résumé, même si je ne dirais pas parfois malsain mais malsain tout du long. Et je ne trouve pas que Lynch y arrive. Cette fin avec l’ange, c’est un peu bateau non ? Et le passage du réel vers autre chose me semble mieux géré dans la série, notamment le tout dernier épisode de la saison 2. Tu m’apprends tout de la production par contre. Merci pour tout ça.

    1. Je suis très étonné que tu n’aimes pas le film ! Je l’aime beaucoup perso. Surtout depuis que j’ai pris l’habitude de le regarder juste après la série, dans la continuité, parce que du coup on comprend quasiment tout.
      Tu verras : Il y a vraiment plusieurs éléments dans la saison 3 qui reprennent ceux du film. Davantage que la série d’ailleurs, dont Lynch semble se foutre complètement au bout de toutes ces années ! Et oui, si tu peux, regardes the MISSING PIECES. On en apprend encore plus.
      Hâte d’avoir ton retour sur la saison 3. Je suis en train de préparer mon article surl le même modèle que les deux premiers.

      1. Comme je le dis, le film n’a sans doute pas grand chose d’intéressant à donner si il n’est pas vu à l’aune de la série, et ça c’est une des raisons qui me font dire que je l’apprécie moins. Ca et des longueurs bien reloues… Mais au moins, cette fois-ci, je l’ai vu en VO, j’ai enfin pu comprendre ce qu’ils disaient dans la boîte de nuit (grâce aux sous-titres :D) !

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