LES PLUS GRANDS MONSTRES DE L’UNIVERS
– UNIVERSAL MONSTERS 4ème PARTIE –

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Quel casting !

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La rencontre !!!

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Duel entre les grands esprits…

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La revanche !

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La torture et les emmurés : La grande passion d’Edgar Alan Poe !

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Le retour de la revanche !!!

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Le retour de la revanche de la rencontre…

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Frankenstein ?

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Un savant qui devient fou (Boris Karloff), un gangster veule et fourbe (Béla Lugosi) et la saisissante transformation du même Stanley Ridges en ersatz de Jekyll & Hyde…

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Encore ce chat noir…

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Tout l’art d’assassiner en mettant la victime dans un crématorium pour chats !

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Notez les regards torves…

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Frankenstein ???

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Et oui, ça c’est un château !

1ère partie : L’histoire des Universal Monsters + les trois premiers films
2ème partie : LA MOMIE, L’HOMME INVISIBLE, les suites de FRANKENSTEIN et de DRACULA, LE LOUP-GAROU et LE FANTÔME DE L’OPÉRA
3ème partie : Les crossovers !
4ème partie – Vous êtes ici : Les Outsiders !
5ème partie : Les suites de LA MOMIE, de L’HOMME INVISIBLE, les Deux Nigauds et L’ÉTRANGE CRÉATURE DU LAC NOIR

9 thoughts on “LES PLUS GRANDS MONSTRES DE L’UNIVERS – 4ème PARTIE”
  1. Ah tiens on se fait plaisir, on va au delà des 3 parties ?
    Punaise j’en ai vu quasi aucun parmi ceux-là. Juste le premier CHAT NOIR je crois.
    Pas trop intéressé par les comédies, surtout les lourdingues^^
    Mais je verrai bien ces TOUR DE LONDRES, BLACK FRIDAY, et le dernier dyptique.

    Concernant la fidelité aux oeuvres de Poe…j’ai aussi envie de dire que parfois ce n’est pas trop « adaptable ». The Raven est un poeme de 3 pages…comment tu veux faire un film avec ça ?
    Le chat noir il y a un paquet d’adaptations. Et je pense que dès lors que ça cause de personnes emmurées et d’un chat tué (ou non) dont le miaulement confond l’assassin, c’est déjà relativement proche de l’histoire initiale. Poe c’est souvent des idées, des concepts. Pas des développements de dingue de personnages complexes. Donc reprendre l’idée de base en fait déjà une adaptation plutôt proche.

    Le 2eme sketch du film TALES OF TERROR adapte de manière amusante et habile LE CHAT NOIR et LA BARIQUE D’AMONTILLADO afin de donner plus de choses à raconter à l’adaptation. LA BARIQUE D’AMONTILLADO, la nouvelle c’est un dialogue entre 2 personnages jusqu’à ce que l’un emmure l’autre. Un peu léger pour être adapté seule aussi.

    1. Ah ! Mon meilleur lecteur ! 😀
      Oui j’aime bien aussi ces adaptations « de loin ». Ils savaient bien faire ça, tous ces cinéastes à l’époque.
      L’éditeur Elephant films a sorti un bon paquet de films Universal qu’on ne trouve pas ailleurs. Toute la série des momies, THE OLD DARK HOUSE, THE INVISIBLE RAY et BLACK FRIDAY, les DEUX NIGAUDS, etc. Tout ça c’est grâce à eux. Par contre on a parfois des mauvaises surprises. Mon DVD de THE OLD DARK HOUSE est foireux et j’ai dû me débrouiller autrement pour finir le film…

  2. Après vous avoir chroniqué pas moins de dix-neuf films emblématiques de la série, je vous en propose encore neuf ! – J’ai lu l’article, mais je n’arrive pas à trouver assez de temps pour en commenter l’ensemble aussi je vais le portionner. Quoi qu’il en soit, un vrai plaisir que de bénéficier d’une part de culture geek supplémentaire.

    Aucun n’est un film de monstre ! […] Explorer la part monstrueuse qui se cache en chacun de nous… – Un choix thématique dans lequel je reconnais bien tes goûts. 🙂

    La maison de la mort – Un manoir isolé : un dispositif narratif qui a fait ses preuves, entre auberge rouge et maison hantée.
    Humour & Horreur : un mariage risqué, l’horreur reposant sur des exagérations du réel, rajouter des exagérations qui tirent dans une autre direction peut parfois provoquer un effet de neutralisation.

    Le chat noir
    Le scénario, à vrai dire, n’entretient guère de rapports avec la courte nouvelle de Poe. – C’est un parti pris qui me déconcerte, aussi bien dans un film que dans une bande dessinée, se réclamer d’un auteur ou d’une œuvre, et réaliser une adaptation qui ne garde rien de l’histoire originale.
    La rencontre entre les deux interprètes tient ses promesses : une belle réussite car là aussi la somme de deux monstres sacrés aboutit souvent à une neutralisation fade.
    Le couple de jeunes premiers devient ainsi pour le spectateur un vecteur d’identification, et le cauchemar se révèle de manière croissante à la seule idée de rester en compagnie de ces deux… monstres sacrés ! – Très jolie formulation, et très belle façon de procéder que de disposer ainsi de personnes pour se projeter, et ressentir par procuration.

    Le corbeau
    Un grand chirurgien, le Dr. Richard Vollin, spécialisé dans les opérations neurologiques a reconstitué dans le sous-sol de sa demeure une chambre de torture similaire à celles que l’on trouve dans les écrits du poète américain. – Oui, parce que dans le poème Le corbeau, il n’y a pas le début de commencement d’une chambre de torture, on en revient à se réclamer d’une œuvre sans rapport avec le film.
    L’univers de Poe est bien présent, mais passe largement au second plan, faisant office de toile de fond. – Bon, évidemment, je suis de mauvais foi dans mes commentaires précédents, et je comprends bien le principe de respecter l’esprit plutôt que la lettre. Pour autant, l’univers de Poe en toile de fond ne correspond pas forcément à ce que je serais venu chercher dans un tel film.

    Merci pour ces présentations, les analyses et l’iconographie qui me permettent de mieux comprendre ce que les auteurs plus récents doivent à ces films.

  3. Le rayon invisible
    L’intrigue : très ambitieuse et très alléchante (quel pitch, comme tu l’écris)
    Nouvelle confrontation pour le duo Karloff/Lugosi : je n’aurais jamais imaginé qu’ils avaient été réuni à l’écran, au point que ça aboutisse à une forme de routine !
    Assister ainsi à une poignée de séquences de meurtres en hors-champ : ben du coup, on n’assiste pas à grand-chose.

    La tour de Londres
    Ce film n’a plus rien à voir avec la série des monstres : il a quand même pas l’air commode le personnage avec la hache. À le voir ainsi j’aurais supposé un comportement monstrueux de sa part.
    Basil Rathbone, Vincent Price et Boris Karloff : hé ben, quelle distribution. À nouveau, je n’aurais pas imaginé que ces monstres sacrés puissent accepter de partager ainsi l’écran.

    Vendredi 13
    Opération de greffe d’un cerveau d’un criminel : ça m’évoque aussi une version ou une autre de la récupération de cerveau pour le monstre de Frankenstein.
    Un 3ème film avec Boris Karloff & Béla Lugosi !
    Le thème me rappelle des intrigues fonctionnant sur le même point de départ : une forme de possession occasionnée par une greffe de cerveau, Heads de Keigo Higashino & Motorô Mase, ou un roman de science-fiction dont je ne garde qu’un lointain souvenir avec un dibbouk.

    1. Bonjour Présence. Tornado est en vacances là. Merci de passer.
      Pour les adaptations de Poe, il faut aussi reconnaitre qu’un poème de 3 pages permet difficilement d’en tirer un film. Tout comme une nouvelle comme Le puits et le pendule, ou autres récit très courts. Poe ce sont des idées surtout, pas tellement des histoires.
      Mais je pense que malgré les libertés prises, les meilleures adaptations de Poe sont celles de Roger Corman avec Vincent Price.
      Parfois il y a des mélanges de nouvelles, plutôt heureux, comme le 2eme sketch du film TALES OF TERROR, qui adapte le Chat noir et la barrique d’Amontillado en un seul récit un peu décalé avec Peter Lorre et Vincent Price.

      LE MASQUE DE LA MORT ROUGE est assez fidèle, même s’il ajoute pas mal de choses (encore une fois, parce que la nouvelle est courte et ne suffit pas pour un long métrage.)
      J’avoue ne pas avoir vu la plupart des films mentionnés dans cet article par contre. Je ne saurais juger de la qualité/pertinence des adaptations, libres ou non.

      1. Bonjour Matt,

        Bravo pour la conception et l’habillage du site.

        Étant moi-même rentré de vacances, il me faut un peu de temps pour prendre de bonnes habitudes et venir vous lire en ces lieux.

        Au fil de divers comics, j’avais bien relevé la fascination de certains auteurs pour les écrits d’Edgar Allan Poe, et vos articles me font comprendre qu’elle provient pour partie de ces films. En effet, les adaptations en BD peuvent dimensionner la pagination en fonction de l’œuvre initiale, ce qui n’est pas faisable avec des longs métrages.

        Bonne journée

        1. T’en fais pas, moi-même je passe peu sur le tien de blog, et n’ai jamais commenté.
          En fait plus il y a d’endroits à consulter pour lire des articles, moins on s’arrête pour commenter.
          Mais hélas on ne peut pas tout publier au même endroit, la ligne éditoriale d’un blog ne correspondant pas forcément à ce dont on veut parler.

          Poe a écrit beaucoup de courtes nouvelles conceptuelles. Vivre les derniers instant d’un type attaché sur le point de mourir, assister au monologue d’un homme pourtant mort qui se fait trainer par terre. Plein d’idées parfois dérangeantes qui étaient très originales et ont façonné une partie de ce qu’est le genre « horreur » aujourd’hui. Mais au final ce sont rarement des histoires en 3 actes avec des enjeux et tout ça. ça peut marcher dans un épisode de série TV de 20min du genre TALES FROM THE CRYPT, mais c’est tout de suite compliqué d’en faire un long métrage sans fusionner plusieurs histoires ou ajouter des tas de trucs.

  4. Le chat noir
    Étonnant de voir ici le même titre que le film de 1934 : tu m’ôtes les mots de la bouche. 🙂
    Juste parce que tu m’as mis le doute : Le chat noir est une nouvelle.
    Manoir bourré de passages secrets et de chausse-trappes, sous l’orage de circonstance : c’est fou à quel point ces caractéristiques sont devenues des clichés vidés de leur substance au cours des décennies suivantes, en particulier en bande dessinée.
    Le duo d’acteurs est un ersatz criant des deux nigauds Abbott & Costello (avec des blagues extrêmement lourdingues et répétitives) : ok, tu m’as convaincu, je ne regarderai jamais ce film. 🙂
    La carrière de ce grand acteur (Béla Lugosi) va décliner tragiquement : incroyable comment l’industrie du film est à ce point sans âme, n’offrant aucun soutien à ceux qui en ont été la chair.

    Le château de la terreur
    Alain de Malétroit : quel nom !
    Film d’ambiance médiévale : un genre que je ne connaissais, mais qui me parle maintenant que je l’ai découvert dans ton article.
    Vieux château gorgé de passages secrets : décidément, c’est une convention de genre bien ancrée. Je me demande quelle interprétation psychanalytique on pourrait y voir.
    Boris Karloff entame à son tour une lente déchéance vers les rôles mineurs : en lisant ces articles, je ressens toute l’avidité de nouveautés d’une industrie, ce principe de flux dans lequel tout est chassé, évacué par les produits suivants, les précédents devenant obsolètes et ringards.

    Le mystère du château noir
    L’intrigue est tout aussi captivante et les décors toujours aussi fascinants : ça faisait plaisir à lire que tous ces films ne puissent pas être réduits à une production à la chaîne, que la créativité ne peut pas être réduites à néant par une industrie conçue pour la production de masse.
    Rôles de géants muets défigurés, tout juste bons à effrayer les ménagères : très belle formulation.

    Cinquième et dernière partie : quand il n’y en a plus, il y en a encore. Je taquine : cela me fait plus penser à M. Cadbury, ce fameux slogan Tu pourrais pas les faire un peu plus longs !
    https://www.youtube.com/watch?v=mNx1_wZoo-w

  5. Merci Présence pour ce retour généreux et complet !
    Je serais curieux, au cas ou, de connaitre tous ces comics et toutes ces BDs auxquelles tu penses en reconnaissant les divers dispositifs narratifs et les multples thèmes de ce cinéma gothique.
    Une cinquième partie ? Oui. J’ai même peur qu’il y en ai une sixième, car j’ai encore 13 films à chroniquer ! On verra si au final je fais tout tenir sur un article ou si je portionne en deux…

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