Partie 2 : Le chanbara de divertissement

Reprenons notre rétrospective des films de samouraïs. Dans cette partie, nous allons nous intéresser à un genre parallèle qui s’est développé durant les années 60 et a vraiment pris son envol dans les années 1970. A savoir le film de samouraï ultra violent stylisé, parfois inspiré du manga, dont l’intérêt repose surtout sur la mise en scène des affrontements. Dans de domaine, nous avons déjà parlé de LADY SNOWBLOOD dans cet article. Nous nous intéresserons donc principalement à deux sagas : ZATOÏCHI et BABY CART.

Shintaro Katsu (Zatoïchi le masseur aveugle bienveillant) et Tomisaburo Wakayama (Ogami Itto, le démon sans pitié), deux acteurs, deux frères, deux légendes du film de sabre

Le Daredevil japonais

Un opus aux nombreuses scènes nocturnes et/ou dans la brume, mais aux décors sublimés

Des personnages secondaires intéressants

Des adversaires mémorables

Un combat sanglant et burlesque dans les bains publics

BABY CART : probablement la saga de sabre la plus sanglante et décomplexée

Mise en scène stylisée pour un film introductif parsemé de flash-back

Un opus sanglant aux adversaires délirants mais avec aussi quelques moments de tendresse

Je fais comme papa

Il y a tout : les pauvres et les femmes opprimés, les seigneurs cruels, le samouraï honorable comme adversaire, des parties de jeu, un Zatoïchi maladroit, et même un personnage travesti comme dans LE SHOGUN DE L’OMBRE

De l’action rapide et fun mais avec un peu trop de sang en CGI

Affiche personnelle en hommage au genre

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